jeudi 6 juillet 2006

Paris, je t'aime...pas moi

Je commence le mois de juillet avec un type de films difficile a critiquer: le film à sketch. Je pourrais passer en revue tous les sketchs qui composent ce film,mais comme dans ce cas la il y en a beaucoup, 18 selon telerama; et qu'en plus je ne me souviens pas de tous tellement ils étaient mémorables, cette option me parait difficile. Je pourrais faire une moyenne en donnant l'impression globale, je dirais alors que c'est un film aussi inoffencif et inutile qu'un poisson rouge dans un aquarium. Si ce film qui a pour objet l'Amour et Paris, deux choses detestables quand on y est etranger, a pour but de donner un aperçu de l'etat du cinema actuel avec la presence de nombreux cineastes importants (et d'autres moins, voire meme qui m'etait inconnu), comme gus van sant, les freres coen ou assayas, on peut dire que cet etat est assez mediocre. Je pourrais aussi selectionner certains marquant pour leur interet relatif ou au contraire leur nullité absolue. Dans les biens il y a celui des freres coen qui arrivent a etre droles avec buscemi dans ce rôle qui lui va si bien de loser qui se fait agresser dans un metro sous le sourire narquois de la Joconde, ou, plus melancolique, celui d'Assayas avec une rencontre entre une actrice qui joue dans un film d'epoque (clin d'oeil a Marie-Antoinette?) et son dealer ; Dans les mauvais on a celui de doyle qui se veut decaler mais qui est finalement conforme a une pub pour parfum...

rate et rattable

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