mardi 16 janvier 2007

Daratt (saison seche)



Apres la Roumanie c'est un autre pays peu represente dans les salles obscures que je decouvre: le Tchad avec ce film de Mahamat-Saleh Haroun. Sur fond d'apres guerre civile ou bourreaux et victimes sont obliges de se cotoyer et vivre ensemble, un fils, akim qui signifie orphelin, part a la recherche de clui qui a tue son pere. Or le coupable est devenu boulanger et lui offre a manger et un travail. il aura ainsi du mal a le hair suffisemment pour pouvoir venger son pere. Une relation quasi filiale se noue entre eux. la mise en scene sobre avec une quasi unite de lieu - la boulangerie - permet de faire resentir toute la tension qui se noue, les longs silences dissimulent une violence contenue ou chaque personnage est petri de culpabilite, l'un pour avoir tue auparavant et l'autre pour ne pas pouvoir.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Je trouve certaines scènes de ce film pour le moins tendancieuses et peu catholiques. Cette image du fils qui se repose au pied d'un mur sur lequel est dessiné une énorme baguette de pain qui part de l'entre jambe est une allusion à peine subtile à l'énormité de la zigoutte des Noirs !! Combien de temps devront supporter cette arrogance alors que c'est cette même zigounette qui est responsable de tous les problèmes de surpopulation et de misère de l'Afrique comme l'a dit Michel Sardou (ou Pascal Sevran) en tout cas, c'est pas un con qui a dit ça !