mardi 10 octobre 2006

Le Parfum

Je ne sais pas si c'est volontaire, j'en doute, mais le film est a l'image du heros du livre de Suskind: laid et sans odeur.
Si c'etait le cas le realisateur aurait choisi un acteur moins cinegenique, plus dans le style de gollum de ce nanard qui ne merite pas d'etre cite. Le film ne fait que retranscrire en image l'histoire du livre. Mais alors que le parfum devrait etre leger, aerien, ici tout est lourd, que ce soit dans le decors et les costumes, dans ce visuel jaunatre de vieille carte postale ou dans cette facon grotesque de vouloir montrer que le heros, un serial killer au nez fin, percoit le monde par l'odorat en filmant en gros plan son nez accompagne de bruitage de type a qui on a envie de tendre un mouchoir, sans parler de la scene finale, une triste et pathetique scene de partouze (ca vaut pas un bon brisseau!). J'ai meme ri alors que le livre n'est vraiment pas drole c'est dire... Prouesse du realisateur ou ratage integral?

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Ouais, Khalim, lâche toi ! Vive la verve desprogienne et les formules portiennes ! Moi je suis pour la méchanceté et les critiques assassines, y compris des films que j'ai bien aimé !

Hugo, l'écorcheur de petits veaux sans défense.

Anonyme a dit…

Bien d'accord, mais moi j'ai bien aimé la grande "fête" à la fin... :)